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Everything That Happened and Would Happens pans a hundred years of European history: its giddy contradictions, false promises and consuming crises. Taking the First World War as a starting point, the performance proposes a landscape of fragmented incident without differentiating the trivial and the supposedly meaningful. Together with 16 musicians, dancers and performers, Heiner Goebbels leads us to a storage depot filled with the props of the past, the burden of the present and the key to possible futures.Part-performance, part construction site,Everything That Happened and Would Happenis an invitation to imagine an alternative history of the 20th century through the poetry of collaboration and chance. Patrik Ouředník’s novel "Europeana – A Brief History of the Twentieth Century", John Cage’s anti-opera „Europeras 1 & 2“ and the European TV channel "Euronews – No Comment" are three interlinked sources of inspiration. Everything That Happened and Would Happenis an open invitation to reflect on what constitutes European identity, where it has its origins and what its future might look like; to imagine different versions of our past, present and future.

Concept, Director Heiner Goebbels
Video Design René Liebert
Sound Design Willi Bopp
Light Design John Brown, Heiner Goebbels
Dramaturgy Matthias Mohr
Assistants to the Director Théo Arnulf, Niels Wehr
Observation & Support Maud Blandel, Thanasis Deligianassis, Shiori Tsuchida
Technical Director Georg Bugiel
Music by C.Emaille, G.Gebbia, C.Lartigau,
L.Maurel, N.Perrin, O.Messiaen, H. Goebbels

with Juan Felipe Amaya Gonzalez, Sandhya Daemgen, Antoine Effroy, Ismeni Espejel, Montserrat Gardó Castillo, Freddy Houndekindo, Tuan Ly, Thanh Nguyễn Duy, John Rowley, Annegret Schalke, Ildikó Tóth, Tyra Wigg

and Camille Emaille Percussion
Gianni Gebbia Saxophones
Cécile Lartigau Ondes Martenot
Léo Maurel Organ
Nicolas Perrin Guitar, Electronics

PIERRES
Spectacle musical
pour pierres curieuses, vidéo et électronique

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Connaissez-vous les pierres à images..?  

Ce sont des pierres anonymes, de vulgaires cailloux, dont l’humanité n’a jamais

eu d’utilité directe et qui portent en leur sein des mondes imaginaires et mystérieux, merveilleusement cachés comme l’intime lieu des rêves et des nouvelles perceptions.

Briser chaque pierre, la fendre, la découper, entrer dans ses entrailles,

c’est ainsi que Roger Caillois a ouvert le rideau de ce théâtre d’images.

Déjà parfaitement dessinés à l’intérieur de la matière, on y reconnait des paysages d’océans, de forêts, de steppes immenses, des déserts, des villes imaginaires, des personnages, des animaux, des cellules, des formes énigmatiques et abstraites.

Un vrai cinéma perdu ou retrouvé tel des figures pariétales des grottes néolithiques.

Une production : L'Émoi Sonneur

Percussions (en alternance) :

Benjamin Soistier, Dominique Waltisperger  

Création sonore et live électronique : Nicolas Perrin  

Régie Vidéo : Stéphane Botard 

Mise en scène : Nicole Piazzon

Scénographie : Malika Chauveau

Construction : Benoit poulain  ​

Production : Clara Normand

Avec le soutien du Museum d'Histoire Naturelle de Paris (photothèque), La Muse en Circuit CNCM (co-production), la Barbacane à Beynes (co-production), L'Entre Deux à Lesigny (co-production), le théâtre Jean Vilar à Vitry sur Seine (co-production), le département du Val de Marne (aide au projet), la DRAC Île de France (aide au projet), le Centre National de la Musique (aide au projet) et la Maison de la Musique Contemporaine (aide au projet)

GUITARE / PAYSAGE
Performance pour guitare électrique "
ELECTRIDE"
objets amplifiés et projection vidéo 
 

Les "GUITARE / PAYSAGE" sont des projets d’écriture musicale et de performance via le média d’une guitare électrique augmentée numériquement : L’ELECTRIDE.

Cette guitare hybride, entre instrument de tradition et de recherche sensible numérique est un objet de rencontre, un outil de médiation entre le jeu d’un musicien et un paysage sonore entre naturel

et imaginaire.

Au milieu d'une scénographie d'objets amplifiés et de projections dessinées en temps réel et reliées aux sons, elle permet d’exprimer un lien, une rencontre, entre l’artiste et son environnement.

Du simple bois et de l’électronique, dans un dialogue contemporain entre les

éléments naturels et notre culture technologique, dans une expression réelle du vivant.  ​

Durée : 30 min

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GUITARE ""ELECTRIDE""

& LIVE ELECTRONIQUE

GROUPE D'IMPROVISATION, musique concrète instrumentale

Camille Emaille (percussions)

Gianni Gebbia (saxophone)

Heiner Goebbels (piano préparé)

Cecile Lartigau (ondes Martenot)

Nicolas Perrin (guitare augmentée)

Willy Bopp (sound design)

Une production déléguée La Muse en Circuit CNCM

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JEU de SENS
voyage sous casque pour 1 spectateur

Jeu de Sens est un projet musical et sensoriel pour un participant.

De forme participative, Jeu de Sens invite à un voyage sonore sous casque et à l’aveugle pour une expérience interactive immobile faisant la part belle à l’imagination personnelle.

Ainsi, après un moment de rencontre avec les artistes, le participant est guidé les yeux bandés à se placer confortablement devant une table. Le participant va activer, explorer, écouter, toucher, sentir toutes sortes d’objets et matériaux sensibles :

percussions, corps sonores, surfaces tactiles sonorisées, matières naturelles, instruments de musique méconnus... Un dispositif de microphones placés autour du participant permet aux artistes de transformer les sons en temps réel.

Les moindres petits sons sont amplifiés tel un zoom sonore, permettant une approche sensible de l’écoute musicale du participant.

Ainsi, un simple frotté sur un objet peut révéler sa plus petite granulosité, puis se transformer et s’amplifier jusqu’à imiter des grands paysages d’océan. Le son, Le toucher, l’odorat… tous ces sens participent également à la vie de cette expérience.

 

La musique et le voyage prennent fin quand le casque est retiré des oreilles du participant, permettant pour conclure un dialogue en forme

de retour d’expérience entre le trio éphémère. Les séances étant enregistrées, le participant se verra proposé un enregistrement de son propre Jeux de sens  : par clé USB, mail…  Il s’agit souvent d’une source de surprise et d’accomplissement pour des personnes qui ne croyaient pas possible la création et l’interprétation de la musique par eux-mêmes.

Benjamin Soistier : percussions

Nicolas Perrin : live electronique

Une production L'Émoi Sonneur

Avec le soutien des atliers MEDICIS, l'ESRP Beauvoir d'Evry

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COMPAGNIE LA BALBUTIE

Spectacle musical

Pour chanteuse buccaliste et live électronique

A partir de 9 mois

VOX
le mot sur le bout de la langue
tâtre musical

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Au commencement était le Verbe, nous dit-on…
Le mot avant la chose et les sons avant le mot. Les sons, les balbutiements, les babillages, les hésitations du son qui se cherche, se forme, éclot et éclate avant même d’avoir une signification.
Qu’à cela ne tienne…

Sur scène, deux interprètes écoutent et font vibrer les sons, souffles et syllabes. La chanteuse-comédienne tente de les attraper, jongle avec leurs échos ; elle explore l’étendue de sa voix comme le fait le jeune enfant qui découvre le langage, son langage. Le créateur sonore rebondit, modèle et spatialise en direct ces sons, ces mots déjà en gestation.

L’espace de jeu est jonché de globes suspendus, de vases posés, dont chacun est le laboratoire d’expérimentations vocales, créant une alchimie de consonnes et de voyelles, de sons et de sens mêlés. La chanteuse joue avec ces bocaux, y plonge un visage, une main, elle y capture les mélodies qui l’habitent, les voix qui l’entourent. Son corps se métamorphose et épouse les formes des sons que son partenaire musicien module.

Toute la scénographie devient sonore et se met à dialoguer. La voix devient progressivement langage, puis chant et construit un décor où la frontière entre les artistes et le public s’efface. Murmures, chants, cris, balbutiements, causeries s’y répondent joyeusement. Vox, le mot sur le bout de la langue fait ainsi de la voix son matériau de création et invente un langage musical partagé et libérateur.

Conception et interprétation :

Juliette Plihon (voix et jeu) et Nicolas Perrin (live électronique)

Mise en scène : Camille Roux

Costumes, accessoires : Marleen Rocher

Lumières, construction scénographie : Stéphane Bottard

Une production de la Compagnie La Balbutie
En Coproduction  avec le Réseau Courte Echelle : 1.9.3. Soleil! (93), la Ville de Gennevilliers (92), la Ville de Rosny- sous-Bois (93), la Ville de Clichy-sous-Bois (93),

la Ville des Lilas (93), la Ville de Saint-Denis (93), le Festival Théâtral du Val d’Oise (95),

la Ville d’Arcueil (94-en cours), la Compagnie Acta (95), le Théâtre Paris-Villette (75),

le Département de la Seine-Saint-Denis (93), la DRAC Ile-de-France (en cours).

Avec le soutien d’Arcadi et de la Drac Ile-de-France dans le cadre des Projets de Territoire.

Projet soutenu par la Compagnie ACTA – artistes associés Agnès Desfosses et Laurent Dupont, la Ville de Goussainville (95), la Maison du Développement Culturel à Gennevilliers (92), La Courée à Collégien (77), le Théâtre de Vanves (92) et sélectionné par Attention travaux /Collectif Culture Essonne.

PLEINE LUNE

CONCERT DANS LE NOIR

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COMPAGNIE LA BALBUTIE

JULIETTE PLIHON : CHANT

LAURINE DAVIS : VIOLON

NICOLAS PERRIN : LIVE ELECTRONIQUE

Pleine Lune est né du désir de créer un dispositif dans le noir, qui sollicite les autres sens (ouïe, odorat, toucher), là où habituellement la vue est prépondérante.

De la volonté aussi de bouleverser les repères de réception pour amener chaque spectateur à développer son imaginaire, à créer ses propres images mentales.

Au croisement de plusieurs arts vivants (théâtre, musique, performance sonore),

il propose une expérience sensorielle toute particulière qui place le spectateur au centre d’un dispositif électroacoustique, olfactif et tactile, et donne à entendre l’invisible à chacun. Les spectateurs, yeux bandés, sont placés au centre du dispositif dont chaque son est traité en direct et démultiplié dans les enceintes. Laurine Davis au violon et Juliette Plihon à la voix évoluent parmi les spectateurs, les frôlent, les touchent, murmurent à leurs oreilles et jouent de leurs instruments, tour à tour acoustiques et amplifiées. Nicolas Perrin, au live électronique, spatialise et traite les sons, rendant palpable la musique comme un mouvement d’atomes, une sensation kinesthésique. 

La dramaturgie sonore se déploie peu à peu, comme la traversée d’une nuit en quatre tableaux : la Forêt, la Veillée incantatoire, le Repos et l’Aurore. Le maillage sonore se tisse, puisant à la fois dans des pièces de répertoire musical (Bach, Berio, Enescu entres autres), des textes (Les Aveugles de Maeterlinck et les écrits de Pierre Soulages sur l’Outre-Noir), et la musique acousmatique créée à partir d’objets du quotidien.

Les notes et les sons se transforment sans cesse, se dérobant à toute tentative d’identification, créant un univers mouvant qui incite chacun à tracer son sillage imaginaire.

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